Tag Archive for exploitation
Hollywood parano : la drogue et le cinéma US
Day of the Woman (Meir Zarchi, 1978) : Rape, Revenge et féminisme
Double programme grindhouse millésime 1975 ou le cinéma bis expliqué à mon fils
A propos d’Ilsa la louve des SS et de La course à la mort de l’an 2000
Hier soir j’étais tranquille, j’étais peinard (accoudé au comptoir…) et je me suis concocté une petite soirée midnight movies de derrière les fagots – façon « L’Absurde séance » – avec double programme grindhouse de la mort. Au menu, deux grands classiques bis de 75 : Ilsa la louve des SS et La Course à la mort de l’an 2000. Rien que les titres déjà ça envoie sec ! Le lendemain, au petit déj’, encore tout excité par le spectacle de la veille, j’essayais tant bien que mal de raconter l’histoire de la course de la mort à mon fiston, fan de Cars (en même temps il a 4 ans…), quand soudain la discussion prit une tournure plus sérieuse…
High School Confidential (Jeunesse droguée, Jack Arnold, 1958)
Les 10 meilleurs films grindhouse qu’il faut avoir vus avant de mourir !
Voilà, la nouvelle année approche à grands pas et avec elle les bonnes résolutions. Alors faites-moi plaisir, ramenez l’intégrale de Rohmer à la Fnac et optez plutôt pour ces 10 chefs d’œuvre du cinéma d’exploitation made in USA. Parce que ça c’est du septième Art, du cinoche, du vrai, du qui tâche, qui remue et qui secoue, tourné avec des tripes et des corones ! Bref du cinéma populaire comme on l’aime ! Et ça tombe super bien, tous ont été édités en DVD et en zone 2. Alors, que demande le peuple ?
N°10 : Black Caesar / Le Parrain de Harlem (Larry Cohen, 1973) DVD MGM 2004
Parce que Fred Williamson, le mec le plus cool de l’histoire du cinéma bis, y interprète un gangster fracassant à l’image du Scarface de Hawks (1932) dont il est une sorte de remake black, il mérite mille fois de figurer dans cette liste. Et si l’on devait ne retenir qu’une unique scène de ce petit chef-d’œuvre de la blaxploitation ce serait incontestablement celle ou Funky Fred, nouveau parrain de la pègre locale, parade avec arrogance sur la 125e rue de Harlem, encadré de deux porte-flingues au regard encore plus mauvais que le sien, au son de The Boss de James Brown. Grand moment d’anthologie !